par Joël Grandjean – A l’exception d’un CEO d’horlogerie particulièrement attentif à tout ce qui se passe sur le marché et donc disposant certainement inconsciemment d’informations de l’intérieur, tous ceux qui virent à mon poignet cette Carrera pensèrent qu’il s’agissait d’un modèle ancien, particulièrement bien entretenu. Certes, l’un d’entre eux me l’enleva du poignet et, après avoir tapoté avec ses ongles le verre Glassbox, me la rendit presque déçu de s’apercevoir qu’il n’était pas en plastique. Autrement dit, il avait conscience qu’il s’agissait soudain d’un modèle actuel. En effet, à l’époque les verres saphir inrayables n’existaient pas encore et le plastique était la meilleure option pour rendre une montre incassable.

par Amr Sindi – Comme je l'ai déjà précisé, je n'ai jamais vraiment été un grand fan de TAG Heuer. Je ne me suis même jamais arrêté à leur stand à Baselworld et je n'ai pas non plus cherché à voir leurs créations chez leurs détaillants. Cette maison ne m'a jamais fait vibrer et la pléthore d'ambassadeurs employés ne m'a certainement pas encouragé à en savoir plus. Je n’ai pas de vue négative sur leur segment de marché ou leur approche marketing, c'est simplement que j'ai tendance à éviter toute chose afférente au courant dominant.

par Jason Pitsch – La Carrera Calibre 18 est dotée d'un cadran argenté soleillé et de deuxcompteurs couleur anthracite azurés. A gauche, on retrouve le compteur de petite secondes. Le cadran de l’original était blanc avec deux compteurs noirs et le look de cette montre nous le rappelle, bien que la version moderne soit dotée d’une surface bombée alors que l’originale était à l’inverse dotée d’un cadran plat.